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Et si l’Univers était une simulation informatique de type réseau neuronal ?

mercredi 23 septembre 2020, par Frédéric.C

L’idée que l’Univers soit une sorte de simulation informatique ou de réseau neuronal immense hante régulièrement l’esprit des scientifiques.

C’est une question qui reviens sur le tapis lorsqu’une nouvelle découverte,, une nouvelle observation, démontre par exemple, qu’il existerait des filaments invisibles reliant les galaxies entre elles.

C’est un sujet récent vu dans un groupe Facebook "Conscience, énergie, dimensions & science”, et surtout la réaction d’un ami en privé, qui m’a partagé le lien vers ce même article pour me dire "Cela me fait penser à l’Alcahest Quantique", qui m’a décidé à ajouter un "Et si ?" sur ce sujet.

Avant d’aller plus loin, je vous partage le lien vers l’article dont je vous parle :

« Et si l’Univers était un gigantesque réseau neuronal ? »



Dans l’Alcahest Quantique, je décris que l’Univers se déploie selon 2 objets.

  • 1 purement magnétique (sans interactions, sans dimensions physiques, sans le temps linéaire variable, sans matière ni énergie).
  • 1 purement électromagnétique (notre espace à 3 dimensions, physique, temps linéaire variable, interactions, énergie et matière).

Mais pour bien comprendre tout ce qui va suivre, il faut penser à la théorie mathématique des ensembles. Je ne vous en exposerai qu’une parcelle pour amorcer la réflexion. Libre à vous après, de réaliser vos propres recherches sur le net (ou d’acquérir une copie de l’Alcahest Quantique pour découvrir toutes les explications que je donne).

L’Univers est un objet.
Mais il est aussi un ensemble contenant plusieurs objets.

1. Les trous noirs non déployés sont des éléments de l’ensemble Univers, qui en se déployant deviennent un ensemble contenant le trou noir lui même (version déployée) et des galaxies.
2. Les galaxies, sont des éléments ou objets directs de l’objet/ensemble Trou noir non déployé
3. Ces galaxies sont des objets, mais sont aussi des ensembles dont les systèmes solaires sont des éléments.
4. Les systèmes solaires sont aussi des ensembles dont les planètes sont les éléments.
5. Si l’on continue dans cette dynamique, nous pourrions dire que, la vie biologique sur Terre est un ensemble d’éléments de l’objet Terre.

Dans cette optique là, nous avons une hiérarchie des ensembles.
Maintenant nous allons aborder le second aspect de ce déploiement fractal à variance de formes.

Si nous considérons la loi mathématique des ensembles, dans le déploiement double et asymétrique de l’Univers détaillé dans l’Alcahest Quantique, il faut prendre conscience que, dans l’objet "Magnétique pur", se trouvent les modèles.

Ces modèles ne sont que des informations à l’état de potentiel non exprimé, non déployé.

Ainsi vous trouverez au premier instant après le début du déploiement de l’Univers, un seul élément L’Univers dont les sous-éléments ne sont pas encore déployés et commencent à se déployer selon les lois mathématiques mises en place dans l’espace électromagnétique.

A cause des restrictions de lois (attraction, répulsion, interactions,) présentes dans l’espace électromagnétique, il est impossible de former des éléments complexe qui seraient le déploiement d’un modèle complexe à partir de rien.

En ce sens, le déploiement d’un élément pour le transformer en ensemble et permettre le déploiement de ses sous-éléments est un processus long, et qui nécessite que les modèles déployés soient de plus en plus complexes sans pour autant que le niveau de complexité soit trop élevé entre deux modèles. Sinon la résistante de l’espace électromagnétique empêcherait le déploiement. C’est le principe de l’évolution de l’Univers. Il s’applique aussi à la vie biologique.

Maintenant j’aimerais exposer un détail qui a une grande importance dans l’histoire. Il s’agit de la différence existante entre le modèle et son déploiement. SI l’Univers était absolutiste et perfectionniste à l’extrême, il n’aurait pas pu donner la diversité actuelle. En ce sens, le déploiement d’un modèle vers la matière dense est très similaire à celui de la réplication d’une cellule.

Sachant qu’Il existe une communication bi-directionnelle entre le modèle (magnétique pur) et sont déploiement (électromagnétique). Cette communication est "au-delà" du temps linéaire variable car le modèle n’est pas assujetti au temps. Lorsque l’image d’un modèle trouve dans l’espace électromagnétique, le potentiel pour s’exprimer, l’amorce se réalise et le déploiement peut se faire.

Mais pour permettre un déploiement plus rapide, le modèle accepte une marge d’erreur entre le déploiement idéal et celui obtenu. Comme une cellule qui se réplique acceptera une certaine qualité dans la copie. Si la qualité est trop faible, la réplication échouera et la cellule mourra. Il en est de même pour les déploiements successifs d’un modèle et de ses versions suivantes.

La question qui se pose est "mais comment pouvez-vous en venir à l’idée d’une simulation ou d’un réseau neuronal" ?

La réponse est simple et permet de relier les deux possibilités ensemble
Lorsqu’un modèle se déploie, il possédera un point d’ancrage dans l’espace électromagnétique, relatif à la superposition symbolique des deux espaces (magnétique pur et électromagnétique). Depuis ce point d’ancrage, tous ses déploiements se réaliseront. Dans une galaxie, le point d’ancrage est au centre du trou noir central. Dans une étoile, il est proche du centre du noyau, pareil pour une planète,etc.

L’objet parent étant intimement lié à tous ses sous-éléments, et ce hors du temps linéaire variable, car dans son environnement magnétique pur non déployé et pleinement potentiel, ses sous-éléments sont lui même. Il en découle que, dans l’espace électromagnétique, tous ces éléments déployées sont reliés au point d’ancrage.

De plus, dans l’environnement magnétique pur, ces éléments étant fusionnés et indissociables (si ce n’est par focalisation sur une image, ce que j’expliquerai plus loin), il en résulte un lien entre chaque élément déployé de l’objet parent.

C’est sur ce point que nous pourrions considérer que l’Univers soit un réseau neuronal.... Ce qu’il serait intéressant, ce serait de faire la dynamique inversée concernant notre cerveau physique.

L’aspect simulation vient quant à lui de deux éléments.

Le premier réside dans les lois présentes dans l’espace électromagnétique, et qui régissent tout mouvement, toute interaction, toute transformation. En réalité, l’espace électromagnétique est le résultat d’un besoin d’expression de l’’Information Complexe Multi-Magnétique. (ou ICMM). Une ICMM peut être assimilée à un modèle. Ces lois qui apparaissent comme des causes, sont donc en réalité des conséquences de ce besoin d’expression de l’information.

Le deuxième élément réside dans la nature même de l’espace "Magnétique Pur" où réside toutes les ICMM non déployées.
N’étant pas assujetti au temps linéaire variable que nous connaissons ici dans la matière, cet objet est particulier. Il possède un lien d’intrication quantique avec tous les instants de vie de l’Univers matériel, sans pour autant être temporel.

Il en résulte donc une chose primordiale : L’objet Magnétique Pur est la superposition d’état de tous les instants de l’Univers électromagnétique déployés. Christopher Nolan, dans le film Interstellar, a trouvé une manière élégante bien que arbitraire de démontrer cela lorsque le héros se trouve à l’intérieur du tesseract.

Cependant nous devons intégrer cette notion dans ce sens : Le moment présent, dans l’Univers électromagnétique, n’est que la focale sur une image de l’objet Magnétique Pur de l’Univers, parmi toutes les superpositions d’images. Le temps nous fait passer d’une image à l’autre.

Une expérience de pensée pourrait vous donner une métaphore du principe.
Imaginez que vous posséder un faisceau laser monochromatique donc vous pouvez régler la fréquence des photons qu’il émet

Vous alignez maintenant, et dans l’ordre, le canon du faisceau laser, un prisme et un plan.

Vous allumez le faisceau laser et vous programmez une augmentation progressive de la fréquence des photons émis.

Le résultat va être simple, le laser va passer au travers du prisme et avec l’évolution des fréquences des photons, vous allez vous se dérouler sur le plan, une à une par transition fluide, les couleurs de l’arc-en-ciel.

Et bien imaginez que l’Univers c’est exactement cela. L’espace électromagnétique n’est que le résultat de la focalisation d’une image de l’espace Magnétique Pur.

Vous avez un prisme qui est un composé possédant des informations spécifiques (l’espace Magnétique Pur).

Vous avez le laser dont le photon est une information (la nature du déploiement), et son programme de changement de fréquence du photon représente le programme appliqué au photon et qui sera transmit au prisme pour donner le résultat.
Vous avez donc le plan, qui est le résultat d’une Information Complexe Multi Magnétique (focale) du prisme, traitée à travers le programme mis en place dans les photons du faisceau laser.

En ce sens, l’Univers est une simulation informatique, à comprendre simulation de la transformation d’Informations Complexes Multi-Magnétiques à travers un programme de déploiement spécifique

D’après la théorie que j’ai développé dans L’Alcahest Quantique, on peut conclure que l’Univers est une simulation informatique d’un réseau neuronal.

A la prochaine...

Source de l’Image : https://trustmyscience.com/wp-content/uploads/2020/09/theorie-univers-reseau-neuronal-750x400.jpeg

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